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bienvenue sur mon blog stubblefield john - album : stubblefield john - stubblefield john. né le 4-février-1945 saxophoniste (ténor, soprano) et clarinettiste a été l'un des musiciens les plus polyvalents dans le jazz, un artiste qui a une valeur inestimable sur l'étendue du potentiel de la musique dans la tradition 2 images voir l'album stubblefield john. saxophoniste (ténor, soprano) et clarinettiste américain (little rock, arkansas, 4-2-1945). son père est’ baptiste, sa mère secrétaire de la holiness church, une église sanctifiée. une amie de sa mère joue du gospel, mais aussi du stride, du boogie-woogie, du blues. il a neuf ans quand il prend ses premières leçons de piano, tout en s’intéressant à la batterie. voyant jimmy dorsey à la télévision, il décide d’apprendre le saxophone. il prend des cours de ténor, faisant de don byas sa première influence, qu’il renforce bientôt avec celles de coleman hawkins et chu berry. en 1959-60, il joue dans des clubs de la ville, notamment avec york wilburn and the thrillers. son premier engagement professionnel lui permet d’accompagner ai hibbler. après le lycée, il est musicien de studio chez stax, à memphis, avànt de poursuivre des études musicales, à l’université d’arkansas – il joue avec solomon burke, jackie wilson and the drifters ¬puis à chicago. il fait la connaissance de lester bowie, retrouve amina claudine myers, connue en 1962 à little rock, et entre en contact avec l’aacm il en devient membre et a ainsi l’occasion de jouer et d’enregistrer avec kalaparusha maurice mcintyre; joseph jarman, roscoe mitchell, steve mccall. il étudie la composition avec muhal richard abrams. son appartement est cambriolé en 1969 : tous ses instruments disparaissent. on lui prête un soprano, pour lequel il se prend de passion. en 1970, pharoah sanders le convainc de s’installer à new york : il entre dans le collective black artists, où il côtoie notamment jimmy owens et stanley cowell. il est engagé par mary lou williams (1971), qui lui fait obtenir une bourse de la fondation bel canto qu’elle dirige. après six mois chez charles mingus (1972), il fait l’année suivante les arrangements d’un disque de roy brooks avec eddie jefferson. en 1974, il enregistre avec la new york jazz repertor company (avec sy oliver, stanley cowell, gil evans … ), travaille avec sam wooding et gil evans, avec miles davis (<< get up with it »), mccoy tyner (<< sama la yuca »). puis il tourne en europe avec dollar brand (<< african space program ») avant de renouer avec evans lorsqu'il revient aux etats-unis. l'année suivante, il travaille avec billy taylor, puis cecil mcbee et nat adderley. en . association avec m'turne et reggie lucas, il crée interpret productions, petite compagnie de production de concerts. en 1976 est enregistré son premier disque, «prelude », qui ne sera publié qu'en 1980. après un séjour californien qui lui permet de rencontrer benny powell et mulgrew miller, il retourne à new york, où reggie workman lui demande de faire les orchestrations de « venus eyes ». en 1983, il devient enseignant - de composition, arrangement et saxophone - à la rutgers university (il l'avait déjà été pour jazzmobile) et dirige le big band et la petite formation de l'université. après une tournée européenne avec michele rosewoman puis freddie hubbard, il enregistre « confessin' » en 1984, avec m. miller, cecil bridgewater, rufus reid et eddie gladden. au début des années 90, il est un des principaux solistes du big band de m. tyner. il travaille aussi en free-lance, notamment avec andrew cyrille. il a joué et/ou enregistré avec anthony braxton (<< town hall »), stanley cowell, frank foster, tito puente, le thad jones-mel lewis orchestra ... sa spontanéité et son énergie suffisent à le rendre captivant, par-delà les tendances et les modes du moment. il s’exprime dans un style direct et laconi¬que, avec une sonorité suave dépourvue d’artifices. son phrasé évite les facilités et les conventions et évoque une danse destructuréejondée sur l’imprévu et l’excitation croissante. rythmiquement très sûr, il développe de très longues. phrases en doubles croches sur une tessiture de plus de trois octaves. ses préférences mélodiques vont aux blues, arpèges, diminués, chromatismes et modes extra-européens. – p.b. & c.g. smart maves (harvie swarlz, 1985); « whal if? » (kenny barron, 1985); serenade ta the matherland (1986), mantauk (1987), « morning song » (1993). /////////////////////////// 27 juin 2005 depuis le 3ème avril 2004 , john stubblefield a été hospitalisé avec le cancer de la prostate. j’ai été avec lui la plupart du temps. maintenant, je suis avec john jours et la nuit. john est maintenant ici, à calvaire hôpital dans le bronx . john est très calme ces jours-ci. il mange aussi très peu de nourriture et boit un peu d’eau. sur le 19 mai 2005 , john’s a chuté de façon drastique la pression artérielle de 60 sur 40. il a été listé comme critique. nous nous attendions que nous avons eu très peu de temps avec john. récemment, john a été retiré de la liste critique. tout de même, je reste avec john jours et la nuit. nous avons encore prendre chaque instant comme il vient. certaines grandes choses se sont passées depuis que john a été hospitalisé. en septembre 2004, nous sommes allés au symphony space manhattan , où le mingus big band se produisait lors d’une levée de fonds de john kerry. john a été sur scène avec le groupe, assis dans son fauteuil, micro en face de lui. il récite « don’t let it happen here ». john senti vraiment bon d’être de retour sur scène avec le groupe de nouveau et le sentiment de la musique si proche. en octobre 2004, nous sommes allés au studio d’enregistrement où avaient été réunis par sue mingus mingus big band de l’enregistrement de « song avec orange », « orange was the color of her dress, then blue silk », et « blues point pedal », organisé tous les par jean. au cours de cette session de six heures, john mené le groupe. l’enregistrement a été publié le 7 juin 2005 . nous avons entendu de bons commentaires à propos de john’s arrangements. sur 4 février 2005 , la soeur de john joyce avait organisé une fête d’anniversaire surprise de john à l’appartement de sue mingus. beaucoup de john amis et membres de famille y étaient. l’appartement a été l’éclatement. il a en effet été surpris. alors que john est à la maison de soins infirmiers, il a terminé la rédaction d’un arrangement à un 4e mingus composition: « la prière pour la résistance passive ». le groupe a réalisé et john fait en sorte qu’ils ont fait juste après avoir entendu les bandes. un jour, boris kozlov est venu avec l’orchestre et ils ont fait les dernières corrections. sur le 23 mai 2005 , lind pasteur de l’église saint peter à manhattan john est venu à bénir. après la bénédiction, john voulait téléphone à ma mère. lorsque nous avons mis sa sur, il lui demanda: « mai j’ai l’autorisation de prendre la main de votre fille en mariage? » nous avons tous été surpris et touché. joyce et rolando briceño y étaient. pastor lind ministère la cérémonie du mariage. il était vraiment doux et apporté beaucoup de joie. ici, au calvaire hôpital , john a reçu deux très en vue des visiteurs, ce qui porte la joie et l’excitation à tous ceux qui sont autour. en mars, bill cosby est arrivée un matin, en prenant john complètement par surprise. il était le plus délicieux et a même pris le temps de chercher sur d’autres patients. sur jeudi, le 16 juin 2005 , le président clinton est arrivé à visiter john. il a été une magnifique visite, faire tant de gens heureux. clinton parlé de ses saxophones. il n’a pas été en mesure de jouer depuis trois ans, après avoir écrit son livre, puis en cours de la chirurgie cardiaque. clinton a également visité les patients sur son chemin. beaucoup sont venus de près et de loin pour visiter john depuis avril 2004. nous sommes reconnaissants pour votre soutien et de guérison des pensées. john est très calme maintenant. nous aimons à ten